kerleuquer : location de gîtes à plobannalec lesconil, (parnaleg leskon) pays bigouden. Meublés saisonniers et gites à 500 m du port et des plages. Studio 2p, gite 4p, gîte 6p, location 11p près des ports bigoudens du Guilvinec, de Loctudy, et Saint guenole penmarch et 25 mn de Quimper.

 

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Méthodologie

 

Rassurez vous, je ne m'amuse pas à  compter,les descendants, ni à calculer la génération,  l'ordinateur le fait pour moi ..., mais il a fallu que je les retrouve, et que je les rentre dans le logiciel de généalogie, "Généatique " en l'occurrence.

    Pour les premières générations, tout se passe en pays bigouden, et il suffit de se promener de mairie en mairie, et aussi, si l'on est adhérent au CGF (Cercle généalogique du Finistère), de puiser dans la base de données de Geneabank, qui est indispensable pour localiser l'endroit du mariage recherché.merci les bénévoles qui ont contribué à enrichir cette bas de données gigantesque. Geneabank est génial pour la généalogie ascendante et  remonter vers 1700 ou davantage, mais pour la généalogie descendante, elle atteint vite ses limites, car, en dehors des mariages de 1850 à 1900 environ, et quelques actes de naissances et décès de cette période selon les communes, elle ne dispose bien entendu d'aucun acte du XX ième siècle... à cause de la loi des 100 ans qui préservait le secret familial. A noter que cette limite vient de passer à 75 ans depuis 2008, mais son application est laborieuse, et son interprétation aussi ...

Des centaines d'heures de lecture de registres d'état civil, dans les mairies du pays bigouden, Plobannalec-lesconil, Loctudy, Plomeur, Combrit, Treffiagat, Penmarc'h, Pont l'abbé, Saint-jean-trolimon, Ploneour lanvern, Trémeoc, pour citer les principales, et dont je remercie les employé(es) en général  coopératifs, mais pour qui il est difficile de jongler en appliquant la nouvelle loi sur les archives, (- de 75 ans etc..).

Les recensements disponibles aux AD (Archives Départementales), ont été aussi d'une grande utilité, pour suivre et retrouver les familles.

Mais, pour les dernières générations, Internet et surtout les Pages Jaunes, m'ont permis de retrouver de nombreuses branches perdues. On savait une cousine, partie du coté de ROUEN par exemple, et mariée à un jean FLOCH.. Quelques coups de téléphone, aux 10 homonymes de Seine maritime, et la probabilité était grande de la retrouver parmi les 10 jean FLOCH du 76. Dans le Finistère, la tâche s'avère impossible, ou France Telecom recense 284 Jean FLOC'H ....

Parfois, les cousins ont bien vécu à l'endroit recherché, mais il y a 20 ou 30 ans ..., et en final ils coulent une retraite paisible dans le pays bigouden, un peu rageant, mais ça fait partie des aléas de la recherche.

S les actes récents de naissance et mariage, sont consultables uniquement par les ascendants ou descendants de la personne, les actes de décès sont "publics", et chacun peut les consulter en mairie, en indiquant la date. Des tables décennales permettent de la retrouver si on a uniquement une date imprécise.

En consultant les registres de naissances, vers les années 1880-1900, on a parfois aussi en marge des indications, sur le mariage et décès du cousin, et en demandant l'acte de décès à la mairie en question, on a souvent des indications qui permettent de retrouver la descendance.

Souvent un enfant est présent sur l'acte, et son adresse aussi, ce qui permet de relancer la piste. Si le décès date de 50 ans, c'est vrai que c'est plus dur , mais ...

Et l'adresse du défunt, donne aussi des pistes. Grâce aux Pages Jaunes, on trouve toujours une brave Léontine, ou Julienne, dans la rue en question, et qui au vu du prénom, ne doit plus être très jeune, et a peut être connu le cousin, et sait où est partie la descendance. Sinon, elle peut nous indiquer la mémoire du quartier.

Donc vous voyez, les pistes de recherches sont nombreuses, et bien sur je garde quelques petits secrets sur mes méthodes d'investigations. Pour les premières générations, c'est assez facile, puis la diaspora s'est évadée au fur et à mesure des générations, dans toute la France, les DOM TOM et quelques pays étrangers, et les recherches de plus en plus difficiles pour pister des branches dont beaucoup n'avait même pas entendu parler ..mais je pense avoir retrouvé 95% de la descendance.

 

Dans les premières générations, les mariages étaient naturellement endogames, et les  petits enfants portent des nom bien bigoudens, après ça se complique ...

 

 

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